vendredi 31 août 2012

La Grenouille et le Scorpion

Aujourd'hui, au bureau, pendant la pause café avec les collègues, nous nous sommes trouvés en train de parler de la fable de la Grenouille et du Scorpion. Comment ? Pourquoi ? Franchement, le processus est pour moi un complet mystère : je ne me souviens pas du tout comment la conversation a fini par rouler là-dessus.

Cette historiette vous est peut-être connue : un Scorpion veut traverser une rivière. Il hèle donc une grenouille et lui demande de la porter sur son dos jusqu'à l'autre rive.
-ça va pas, non ? lui répond vertement la Grenouille. Tu me piquerais !
-Mais non, répond le scorpion. Pas d'inquiétude : je serai sur ton dos ! Il faudrait que je sois fou pour te piquer, car alors je me noierais et je mourrais aussi.
La Grenouille convaincue accepte de prendre le Scorpion sur son dos. Las ! Au beau milieu de la rivière, le Scorpion pique la Grenouille de son dard empoisonné. Avant de succomber, la malheureuse s'écrie :
-Mais pourquoi as-tu fait ça ? Nous allons mourir tous les deux, maintenant !
-Je n'y peux rien, répond le Scorpion. C'est ma nature.

Avec les collègues, nous nous demandions quelle était la provenance de cette fable, dont on peut ramasser des variantes à la pelle en se promenant sur le net. Viendrait-elle de La Fontaine ?

"Je ne crois pas, nous dit alors le boss. Avec des animaux comme ça, ça doit être une fable orientale. Je dirais bien arabe. L'Arabe étant symbolisé par le Scorpion qui essaie de monter sur le dos de l'Europe."

Et nous nous esclaffâmes. Oui, mon boss est fichtrement réac, et les collègues, s'ils ne le sont pas forcément tous, n'ont pas envie de contrarier le boss. C'est assez agréable comme environnement de travail, mais pour des raisons évidentes, je ne vous dirai pas ce que c'est, comme boîte. Il y aurait encore des gauchistes malfaisants pour vouloir dénoncer le boss à Mouloud Aounit.

Résultat, je ne sais toujours pas d'où vient la fable, et honnêtement, on ne peut pas dire non plus que la saillie était désopilante. Mais allez, ça m'a fait sourire, et j'espère que ça vous fera sourire aussi.

vendredi 24 août 2012

Stéphane Bern m'a trahie !

Et je ne vais pas lui pardonner de sitôt !

J'ai dit un jour qu'il était un bienveillant ? J'avais dû boire trop de cidre…
Pourquoi cette soudaine acrimonie ?

la Turquie !




Voici la présentation :



"Le plus grand de tous les sultans est aussi celui de toutes les énigmes. Au milieu du XVIe siècle, l’empire de Soliman le Magnifique est immense ; son armée et ses janissaires sont craints dans toute l’Europe ; Istanbul, ses trésors et ses mosquées émerveillent le monde occidental. Pourtant, dans son fabuleux palais de Topkapi, Soliman vit une passion brûlante avec une ravissante esclave slave, Roxelane, qui élimine toutes ses rivales et devient l’épouse du sultan. Comment Roxelane a-t-elle réussi à transformer le maître d’un harem de 300 femmes, parmi les plus belles de l’empire, en un sultan monogame et soumis à son épouse ? Pourquoi Soliman a-t-il fait exécuter son ami le plus proche, le grand vizir Ibrahim ? Pourquoi, vers la fin de sa vie, a-t-il fait étrangler une grande partie de sa famille ? Pourquoi sa mort elle-même est-elle un épisode stupéfiant, digne des plus grands romans d’aventure ?"
 Secrets d’histoire tentera de répondre à ces questions et nous emmènera sur les traces d’un "magnifique" sultan…"      
Ce que j'ai de Grèce et d'Autriche en moi a fait des bonds…
Soliman le Magnifique ! Si encore il avait fait son émission sur Mustapha Kemal Atatürk, j'aurais sûrement regardé. Cet homme d'état mérite qu'on s'intéresse à lui et à son oeuvre. C'est pas tous les jours qu'un dirigeant d'un pays musulman édicte une séparation de la religion et de l'Etat, donne le droit de vote aux femmes, se préoccupe de la situation de son peuple. Bref, un grand homme, il me semble.

Mais non, Soliman et son esprit de conquête, heureusement stoppé à Vienne, largement vengé des siècles plus tard, en Allemagne et en Autriche par ses hordes de Turcs occupants actuels… Là, c'était trop pour mes nerfs fragiles et j'avoue, cher Stéphane, que je vous ai gaillardement zappé. Et sans l'ombre d'un regret. Nan méo !

Aujourd'hui, je pense que j'ai eu tort. C'est pourquoi je vais la regarder sur pluzz, votre émission.
Mais n'y revenez pas !
La Turquie, vous savez bien ce qu'il en est, vous qui êtes propriétaire en Grèce.
Chypre, ça ne vous dit rien ? les Chypriotes, ça leur parle à eux, qui ont vu leur île coupée en deux, la moitié étant livrée aux Turcs, avec la bénédiction de l'ONU…
la Turquie, cheval de Troie dans les Balkans, avec ses Albanais, Montenegrins, Kasavars, des Turcs déguisés…
La Turquie enfin que l'on veut nous insuffler dans l'Union Européenne, qui n'en est pas à une connerie près. Mais là, ça en sera une sévère !

Et vous Stéphane, en nous montrant ce qu'elle a de mieux comme sites, vous participez à la propagande avancée pour nous faire avaler cette vipère toute crue.
La Cappadoce, vous devez connaître ! Merveilleux site naturel, unique. Avec ses chapelles et églises troglodytes, dont les visages de saints hommes et femmes ont été brisés, caillassés, effacés…
Et bien malgré le plaisir que ce serait de voir la Cappadoce en Europe non merci ! Pas de Turquie !

Je ne vous remercie pas, pour une fois !
Excusez mon style, j'ai décidé de ne plus faire de phrases complètes, en représailles.
Bien fait pour vous !

mercredi 22 août 2012

La clé de la honte.




Est-ce bien sérieux?
Il n'a échappé à personne que les plans de l'Elysée avaient été dérobés. Un des endroits les plus sensibles du pays. Là où se concentre toute la crème du pouvoir. Cet endroit est malgré tout un lieu de travail, avec ses dossiers secrets, ses personnalités, et quiconque y travaillant n'aurait envie de le mettre en péril. Il revêt un habit sacré, et se présente comme un point stratégique majeur dans les grandes décisions qui sont prises pour le pays (quoique depuis un moment, pas grand chose de brillant n'en est vraiment sorti).
Mais alors, ceux à qui il revient de s'occuper de l'Elysée, ceux qui y bossent, ne devraient-ils pas le considérer comme l'endroit le plus important de leur vie? Oui, plus important que chez eux, car c'est là que se décide la politique de la France. A en croire les faits divers, il semblerait que cet endroit relève davantage du lieu commun que de l'endroit sacré. Après tout, hier, le ministère de l'Intérieur a fait savoir par communiqué que ce n'était pas si grave que ça. Ah bon, tiens donc, on se fait voler les plans du château, et c'est pas grave.
L'ironie de l'histoire, on nous bassine avec les nouvelles technologies, on veut poser la fibre optique à l'Elysée, c'est super! Et dans la joie, ils ont quand même oublié de vérifier le sérieux de l'entrepreneur.
On peut dire qu'ils accordent un intérêt tout particulier au lieu. Ah oui, l'Elysée c'est pas un moulin!
Ce fait-divers est éloquent, car il montre que la philosophie à gauche est toujours plus d'amour, toujours plus de sympathie pour l'invisible, et on fait crédit de la méfiance, qui dans ce cas précis, était OBLIGATOIRE.
Le mec rencontre Roger au bar en face de l'Elysée, qui boit un coup, entend qu'il est électricien, et lui propose direct s'il veut poser la fibre optique là-bas. Bein oui, pourquoi pas, après tout, Roger, il avait l'air sympa. Oui, mais le hic, c'est qu'il faudrait peut-être penser davantage à protéger l'Elysée qu'à Roger et sa bonhomie.
Faire des économies c'est bien, mais certains points sont plus importants que d'autres, et parfois un peu de méfiance permet d'éviter certains actes gênants.
Avec toujours un peu plus d'affaiblissement, le Pouvoir ne sera plus qu'un pruneau. Bientôt.
Pour le ministère, je dirai à chacun de juger de la gravité de cet acte.
La France est devenue comme une poupée Vaudou dans laquelle de nombreuses personnes aiment y planter des aiguilles.
Il est temps de Re-sacraliser le pouvoir, et de balayer cette normalité à 3 euros!

lundi 20 août 2012

Tiens, il y a 3 récalcitrants !

Trouvé sur le site de presse Océan :





Je ne vais pas tout recopier, vous cliquez sur la source.
Juste les commentaires, peu nombreux certes, mais amusants :

Vos réactions

 3 réactions
  

Vous avez raison Mike

Oui, vous avez raison et votre calcul me semble plus que judicieux. On nous ment en toute impunité sur la fréquentation du VAN pour justifier sans aucun doute le coût exorbitant de cette aventure... voulue par nos édiles... !
  

1 000 000 De nos impôts?

Voir le sondage 57 pou 100 de contribuables qui restent sans regret du voyage à nantes!
Signé: Naoned!
  

Pas sûr !

Ce chiffre ne signifie rien puisqu'il semble avoir été obtenu en additionnant les visiteurs de chaque site. Or chaque visiteur peut fort bien visiter plusieurs sites. Je suis prêt à parier que le vrai nombre se situe plutôt autour de 100.000. Il suffit de diviser le chiffre annoncé par le nombre de sites.

samedi 18 août 2012

J'apporte une bonne nouvelle au monde…

…et je pense que vous n'y serez pas indifférents.



Adoncques hier en fin d'après-midi, alors que l'ardent soleil dardait ses rayons de feu un peu moins fort sur la petite station caniculaire provisoirement bondée qu' apparemment, malgré les efforts des dirigeants régionaux et municipaux, aucun monstre marin ou nessien ne parvient à vider, donc hier aprem, mon mari et moi avons pris notre plus élégant masque à gaz dans la ferme intention d'aller tester le degré de nauséabonderie de nos récemment arrivées algues vertes.

(Et on inspire…)

Et bin, rien !

(Et on expire)

Il n'y a plus la moindre trace à caractère verdâtre. Bon, en ville, j'en sais rien, j'évite d'y déambuler quand il fait trop chaud, et je fuis les animations-marchés nocturnes-ventes à la sauvette, fait trop chaud et ya trop de monde et ça attire la racaille.


Mais sur notre plage préférée, près de laquelle on trouve facilement à se garer (je garderai l'endroit secret, même sous la torture), les gens étaient heureux, les vagues étaient superbes (marée haute) les kiteurs faisaient leur métier, les surf-kiteurs le leur, et nous le nôtre: profiter des beaux jours. Les jeunes mamans allaitaient leur nourrisson dans leur petit abri de plage que je trouve génial, parce que pas cher, léger à déplier, moins facile à replier (j'y ai passé du temps, mais simple quand on a trouvé le truc , heureusement que j'avais testé chez moi parce que sinon, j'aurais pas eu l'air d'une conne sotte, moi) et en plus, on le trouve chez Lidl (ils sont bien, les Allemands !) . N'allez pas en déduire que j'ai un nourrisson à nourrir, c'est fait déjà depuis un ptit moment, mais j'ai vu des mamans le faire et je suis toujours attendrie devant ce spectacle d'amour pur.

Bref, ce fut un très beau moment, et j'y retourne tout à l'heure.


jeudi 16 août 2012

Fin du FIL 2012

Je vous avais dit que je vous reparlerais du Festival Interceltique de Lorient.




Chose promise, chose du(t)e.

Hier 15 Août, France 3 nous a gâtés. 
La Grande parade des nations celtiques a eu lieu il y a deux semaines, mais à cause des zeux jolympiques, on n'en avait rien vu à la télé.
Cette grave lacune a été largement réparée hier après-midi.
Je n'ai pas suivi donc aujourd'hui, j'ai plongé sur FR3 replay. Et j'ai trouvé.

C'est sur France 3 replay.

Vous avez là 3 vidéos.
Dans le documentaire Lorient en fête, vous verrez la fête (smiley qui hurle à Monsieur de la Palice), mais aussi des artistes fêteux dont je vous ai déjà parlé (Tri Yann, Nunez etc…) et évidemment beaucoup de fêtards. 
C'est intéressant pour l'ambiance et l'esprit du festival expliqué aux non-spécialistes que nous sommes. A noter que le président organisateur historique du FIL est un gars des Asturies. Il ne l'a pas fait exprès, mais c'est bon pour le symbole.

Dans la Grande parade des nations celtes, vous avez la parade des nations celtes, que je vous ai déjà à peu près citées. Là, ils ont ajouté les Etats-Unis, la Nouvelle-Zélande, l'Australie. Et ce qui est étonnant mais pas tant que ça, c'est l'abondance de cercles celtiques et de bagadou (pluriel de bagad) dans la France entière et notamment dans la région parisienne. Les gens de Seine-Saint-Denis, des Yvelines et d'ailleurs dont les racines sont en Bretagne n'oublient pas, se regroupent et perpétuent les traditions musicales. Comme à une sorte de bouée.

Puis vous avez ce qu'ils ont appelé le Grand concert interceltique, ce qui est autrement connu comme Nuit Magique, où tous les cercles, les groupes, les solistes se produisent. Un puissant feu d'artifice conclut le tout.
Je pense bien ne pas en avoir vu de plus beau que là-bas, une année où j'y étais.

Voilà, appréciez, ou ne regardez pas.
Vous avez encore votre liberté, usez-en.




mardi 14 août 2012

Résumé des épisodes précédents

Pour ceux qui n'auraient pas suivi, Carine a ouvert son propre blog, suite à la lutte fratricide des pro-têtes et des anti-têtes. Triste querelle, lorsque l'on pense que Moïse, redescendant de la montagne avec les Tables de la Loi et trouvant les Hébreux en train d'adorer le veau d'or, parvint, lui, à être à la fois prophète et anti-fête. Ceci étant, Carine continue aussi de poster en ces lieux.

Comme à son ordinaire, votre serviteur écrit de temps à autre des billets, et les efface aussi sec. Rien que de très normal pour les habitués.

En outre, l'équipe a été rejointe par un troisième guerrier de la plume, un personnage au passé mystérieux qui répond au nom de Pierre. Nous sommes donc désormais trois, un peu comme les trois mousquetaires, qui étaient quatre, mais nous avons toujours Gato Montès dans la soute à bagages. Ensemble, nous voici prêts à croiser le fer contre les séïdes de l'Empire du Bien, mais seulement le fer virtuel parce qu'en vrai on n'en a pas et on est des trouillards. Une chanson de bienvenue s'impose donc.


"Ils font tout pour qu'ils aient pas d'avenir".

Ou la culture du moindre effort, l'anti "aide-toi d'abord et le ciel t'aidera".



Voici les dires de la soeur d'une victime d'un accident routier qui a mal tourné: "Ils font tout pour qu'ils aient pas d'avenir".
J'ai envie de dire à cette soeur que si son frère n'avait pas fait de connerie, il n'en serait pas là.
Je dirai aussi que ces chers jeunes, que le ps adore victimiser, feraient mieux de se sortir les doigts du cul, plutôt que d'attendre des miracles de la part de l'Etat!
La fac (publique!), les CAP, apprentissages et compagnie, c'est quoi? Ce ne sont pas des tickets pour la réussite peut-être? Ah oui, mais pour ça, faut travailler au collège et au lycée! Aïe! Ca coince.
Elle m'a énervé cette soeur. Ca va être dur de sortir du principe du miracle pour tous! Et oui, pourquoi aller travailler quand on a suffisamment sans aucun effort?
D'ailleurs, notre pays n'a jamais présenté comme héros un chef d'entreprise. Je ne dis pas ça pour tourner le regard vers les US, mais on comprend mieux les marqueurs de la culture de gauche, de la moitié du pays.
Ah mais je suis idiot, c'est vrai que les efforts, l'accomplissement de soi-même à travers le travail, ça ne peut pas coller avec les principes extrêmes des droitsdel'homistes. Et pourtant on les  plante avec le nez, à la mode, à la mode... Sinon, ils auraient plus personne pour les soutenir! Bah oui, gagner sa croûte, c'est mal, gagner très bien sa croûte, encore pire, alors comment peut-on glorifier le travail dans un pays qui condamne la réussite? Cette théorie revient souvent dans la presse que je lis, et je dois dire que le la trouve assez criante tellement la gauche en a fait une culture. 
A trop attendre des autres, on peut attendre longtemps pour se sortir d'une situation inconfortable.
Quand on a son propre bras dans le cul, faut pas compter sur les autres pour le sortir de là!

Les oiseaux de passage - Jean Richepin


Ce poème vaut bien un billet spécial.
Vous connaissez déjà, mais je vous fais une piqûre de rappel.
Mis en musique et chanté par le grand Georges, cela donne cette merveille :




Non, non, ne me dites pas merci…


lundi 13 août 2012

Le dernier des Français

Ces temps derniers, j'ai mis a profit quelques moments de temps libre pour aller visiter, plein de respect, d'émotion et de révérencielle crainte, quelques lieux chargés d'Histoire. Je m'y suis rendu en pèlerin, avec le souci d'être, autant que possible, digne des lieux, en faisant des efforts d'élégance. J'en garde le souvenir de marées de touristes. Des blancs, et quelques jaunes bien sûr, puisqu'on ne voit jamais de noirs ni de gris dans les sites patrimoniaux. En même temps, ils s'en tapent : ils savent très bien, eux, que ce n'est pas leur patrimoine.

Mais franchement, j'aurais autant aimé que les Français soient restés chez eux aussi. Des fins de race en shorts et t-shirts, parlant haut dans les églises et se conduisant dans les châteaux de nos rois comme à Disneyland. Pas trace du moindre respect, de la moindre émotion, de la moindre gratitude chez ces primates endimanchés, alors qu'ils foulaient des lieux marqués par le souvenir des hommes qui ont fait la France. En fait, les seuls à se comporter un tant soit peu dignement étaient, sans surprise, les jaunes.

Tout bien considéré, je ne suis pas sûr qu'il soit bon d'ouvrir les portes des monuments historique à cette plèbe inculte. On me dira que leur pognon permet d'entretenir. C'est bien le seul intérêt que je vois à la chose. Les cathédrales ont été bâties pour y prier Dieu, les palais l'ont été par des gens de qualité, pour y recevoir d'autres gens de qualité. Les manants n'ont rien à y faire. Et bien sûr, je me mets dans le sac. Le plaisir que je peux prendre à visiter de tels sites n'est rien auprès du sacrilège que constitue leur invasion par des hordes de crétins. J'en ai ressenti douloureusement l'évidence, à la basilique de Saint-Denis, lieu le plus sacré de l'ancienne France, en y voyant un dégénéré gras et flasque s'avachir sur le priant de Louis XVI, le roi martyr, comme sur un accoudoir.

Tous ces machins sont vraiment les touristes de leur propre culture. Ils y sont étrangers, autant qu'ils le sont à la culture asiatique. Ils visitent les hauts lieux de notre Histoire comme ils visiteraient la chaumière au toit écroulé du grand Zimbabwe. Moi seul me rend dans ces sites porteur d'un hommage, par fidélité, par volonté d'enracinement et de continuité, par culte des ancêtres.

Je suis le dernier des Français.

Dans La Guerre de Troie n'aura pas lieu, Jean Giraudoux écrit : "Quand l’homme adulte touche à ses quarante ans, on lui substitue un vieillard. Lui disparaît. Il n’y a que des rapports d’apparence entre les deux. Rien de l’un ne continue en l’autre." Apparemment, ça marche aussi pour les peuples, d'une certaine manière, et c'est ce qui est arrivé aux Français. A un moment donné de leur Histoire, on leur a substitué des connards, et rien de ce qu'ils étaient auparavant ne se perpétue en eux.

Au fond, ce n'est pas moi qui ai fait sécession. Je suis simplement resté un Français, conscient de son héritage et soucieux de l'assumer, tandis que tous les autres devenaient des déracinés apatrides. Je suis le dernier de mon peuple, et comme à Ossian, revenu des îles enchantées des siècles après la mort des Fianna, il ne me resta qu'à chanter, pour le temps qu'il me reste à vivre, la geste de ma race défunte, dans l'espoir absurde de retarder un peu le travail des brumes de l'oubli, qui recouvriront tout.

Même parmi les réacs, je suis le dernier des Français. Nouratin s'est fait napolitain, la moitié des lecteurs du Pélicastre veulent se réfugier dans un bunker des Rocheuses, et Pakounta, étant un orang-outang, ne saurait être Français. Quant à Robert Marchenoir, chacun sait qu'il rêve d'être un spéculateur apatride à la solde du Grand Capital, mais qu'il n'est pas prêt de gagner bézef avec sa retraite de fonctionnaire.

Je me sens seul, parfois. Etre le dernier des siens, ça doit rendre dingue à force. Regardez comment a fini André, le dernier des Norvégiens.

Etre le dernier de son peuple, ça rend cinglé.

Ah, il y a des jours où on a du mal à rire, même jaune. Et merde pour qui me lira. Que sainte Jeanne d'Arc vous patafiole, bande de pestilentiels renégats.

vendredi 10 août 2012

Invasion inquiétante

Ca ne suffisait pas des écrevisses de Louisiane  ! 



Il nous fallait les algues vertes …
Bon, la catastrophe n'est pas aussi avancée qu'à Douarnenez (photo), mais ça risque d'empirer, car on ne peut strictement rien y faire.

Pour le moment, c'est une mince pellicule craquante et puante sur le sable, quelques dépôts gluants ça et là, en plaques, qui rappellent en vert ce que nous avons connu en noir, en 1999, lors du naufrage de l'Erika.

Et l'eau est verte de particules en suspens. Ca sent mauvais et ça ne donne pas envie de jouer dans les vagues.
D'après les petits jeunes sauveteurs qui surveillent la plage, ce n'est pas toxique.
Ils sont formels. 
Ils précisent honnêtement que c'est ce qu'on leur a dit et qu'ils nous disent ce qu'ils savent, pas plus.
Et ils vous disent aussi que des analyses sont en cours.

Avant la chaleur, l'eau est froide et limpide.
Pendant la chaleur, l'eau est tiède et envahie. 
Je ne dis pas polluée, car ce truc semble être d'origine naturelle. Je ne sais pas du tout si les nitrates sont en cause ici. En tout cas, la saison de pêche à pied me semble bien derrière nous, car qui voudra consommer des crustacés qui auront subi ça ?
Beaucoup doivent être atteints, si tous n'en meurent pas…

Le changement, c'est maintenant, qu'ils ont dit !
Oui, c'est certain, parce que je n'avais encore jamais vu ça ici…
Ca doit être un effet collatéral du serpent…

Fallait pas mettre Hollande sur le trône, on en voit les effets maintenant.

Mais bon, ce n'est qu'une invasion de plus, on a le cuir tanné ici.

Le Serpent d' Océan va prendre une très jolie couleur verte qui va l'habiller comme un gant.
Après tout, c'est ce qu'ils voulaient, en faire un hâvre pour les algues et ptites bêtes.

On va le prendre pour un visiteur, comme dans V




N.B.
Je sais bien que les écrevisses de Louisiane sont des écrevisses presque de chez nous, ce ne sont pas les Cajuns qui me contrediront.
J'en ai même entendu l'autre jour certains dire que depuis le passage de Katryna, le gouvernement US les avait complètement oubliés.
Et que donc, ils voulaient que la Louisiane revienne à la France.

Je suis pour !
Mais on ne me demandera pas mon avis, je n'ai jamais participé à aucun sondage, bizarrement.
Et puis c'est tant mieux parce que c'est toujours quand ils sont dans la merde  les difficultés que les gens veulent devenir ou redevenir franaçais, vous avez sans doute remarqué.

Là, faut dire qu'ils ont été servi: les cyclones qui ont ravagé la Nouvelle Orléans et toute la région, puis la marée noire qui a ravagé le bayou.
Tiens, on n'en parle plus du tout d'ailleurs.
Elles sont bien passées quelque part, les galettes.

Donc, que veulent-ils, les Louisianeux ?
Bin ils veulent que c'est nous qui payent, quoi.
Enfin, quand je dis "ils", je veux dire le gars qui était interrogé une canette de bière à la main :-)

mercredi 8 août 2012

Malencontreuse méprise

Il semble que j'ai mal interprété certains messages de Carine et pris pour moi ce qui ne m'était pas destiné. Suivant la grande tradition de ce blog, je fais amende honorable et saborde le message. Néanmoins, je devrais recommencer à publier des choses dans un avenir assez proche.

Merci de votre compréhension.

mardi 7 août 2012

De la relativité de la perception

Ceci est un billet minimaliste.





Vous avez tous eu à l'école un professeur de Mathématiques qui vous a montré les deux entrées principales de ce cube. 
Par "principales", entendez "qui sont face à vous".
Parce que si vous tenez à compliquer les choses, vous pouvez aussi entrer par les côtés, nous sommes d'accord.

La question n'est pas de savoir par où vous entrez, mais de prendre conscience qu'il y a plusieurs options.

Plus j'avance en âge, plus je voudrais raisonner en fonction de ce constat.

Mais la raison, celle qui vous fait considérer toutes les entrées du cube, les deux côtés de la médaille, le yin et le yang, se fait toute petite devant les problèmes que nous rencontrons et dont ce blog, parmi une foule d'autres, se fait l'écho.

Quand la raison raisonnable est battue en brèche arrive la masse des réactions en chaîne:  les nerfs à vif, les tripes à nu, la colère, la révolte, la réaction passionnée.

De quel clan faites-vous partie ?

Les raisonnables ou les passionnés ? 

Je ne vous dirai pas où je me range, je crois que vous vous en doutez. 

Et le "raisonnable" consensuel et policé m'agace.

"Plutôt morte que sympa…" comme dit Georges. Pas Brassens, l'autre Georges, le sage.

N.B.
Hors sujet, mais pas tant que ça, voici une citation de Philippe Muray, donnée chez Dixie par  ClockworkBlack:

"Nous vaincrons parce que nous sommes les plus morts".

lundi 6 août 2012

Dans le cochon, tout est bon.

Surtout quand il devient le fer de lance de notre combat pour notre identité.


Je sais, ça ne parait pas sérieux, mais il y a une chance pour que ça le devienne.
Question de temps.
Va-t-on interdire le porc, dans ce pays béni des dieux ?
On note déjà une bonne diminution des points de vente et des jeunes gens appelés par la vocation de charcutier…
Je fais ce billet à la va-vite, comme il vient, en soutien à celui de Dixie hier ainsi qu'en réponse à celui de Jacques ce matin. Ce n'est pas une bagarre, mais une discussion amicale.

On a bien essayé d'occuper la rue avec des rassemblements dédiés au saucisson et au pinard, mais on nous en a empêchés, sous le prétexte fallacieux que cela ne plaisait pas à nos amis musulmans, qui se sentaient agressés, stigmatisés, ostracisés, mal aimés et pire encore. Repoussés ? 
Et que par conséquent, il risquait d'y avoir atteinte à l'ordre public ! Dommage que les smileys n'existent pas ici, mais là, j'en pose un gros avec entonnoir sur la tête.
Parce que pendant les prières de rue, il n'est pas troublé, l'ordre public ?

Et puis, personne n'était rejeté, les Africains de partout y étaient cordialement invités. Et ils pouvaient apporter leur chorba et leurs boulettes de viande, même leurs pâtisseries attentatoires à notre ligne…

Que la rue soit occupée par des prières islameuses, soit !
Ca ne gêne personne, ni la circulation, ni les riverains, ni la police qui continue bravement à verbaliser les mauvais stationnements juste sur le lieu des prières. Vous vous souvenez de cette photo qui a circulé partout ? 
Que des voisins voisinent le jour officiel de la fête des voisins, soit !
Ils peuvent même installer des tables dans la rue (à condition de prévenir et d'inviter tout le monde), chacun y apporte son écot et tout va bien. 

Mais saucisson-pinard ! Vous n'y pensez- pas ! Ca sent les HLPSDNH ça !
Plus jamais ça !
"Le ventre est encore fécond d'où la bête immonde a surgi" et toussa… Oui, tiens, c'est vrai, quand on y pense, il est plus que fécond, le ventre.
Va falloir trouver de la viande pour nourrir tout ce monde-là, et des bras pour faire pousser la viande.
Mais il faut aussi loger tout ce monde-là, donc il faut construire.
Mais pour construire, faut du terrain. Et le terrain, on le trouve où ?
Chez ceux qui font pousser la viande…

Mais ce n'était pas là mon propos.
Je vous avais bien dit que je procédais par association d'idées, mes profs me l'ont toujours reproché.
Là, mon propos, c'est de participer au petit débat qui a cours ces jours-ci grâce à l'idée qu'ont eue des gens un peu énervés par les "centres culturels" qui prolifèrent sur notre sol, inaugurés par nos édiles, quand ce n'est pas par nos ministres. Souvenez-vous de Juppé coupant le ruban tricolore d'inauguration, pour bien signifier que nous l'avons dans le …Vous faites google images, et vous retrouvez.

Donc, les avis sont partagés sur cet "attentat" d'opérette.
Je ne minimise pas ! Car il a fallu une espèce de courage et il a fallu veiller tard ou se lever de fort bon matin pour déposer l'objet de toutes les répulsions musulmeuses.
Vous imaginez ce qui serait advenu de celui ou celle, ou ceux, qui ont procédé à ce processus ?
Je ne sais pas si on aurait retrouvé leurs têtes…

Donc je ne minimise pas. Je déplore que nous n'ayons QUE ce moyen.
Sur certains blogs de ceux qui "résistent" à l'invasion musulmante, le disent, s'en réclament, on lit que ce n'est pas une méthode, que nous sommes des civilisés, que nous ne jouons pas dans le même patio.
Certes ! Je n'en disconviens pas : eux ont des armes, des associations racistes anti-nous qui nous traînent devant les tribunaux pour délit de pensée, des soutiens à sens unique que sont tous les médias, le show-biz, les politiques.

Et nous, nous avons quoi ?
Un vote tous les 5 ans. Pas le droit de détenir une arme, pas le droit d'intervenir où que ce soit sans se faire épingler par la halde ou SOS racisme, dont on ne dit pas assez l'imposture de son existence et de son fonctionnement (voir commentaire sous l'avant derier billet)

Nous sommes dans un pays totalitaire…Il faut en avoir conscience.
Il ne sera bientôt plus temps de jouer sur les mots.

Je colle ici le commentaire que j'ai fait chez Jacques:
"La photo est bidonnée, car jamais un musulman n'oserait marcher dans un ruisseau de sang porcin. Sur le fond, maintenant: je suis d'accord avec vous sur le vote. Mais vous avez vu le résultat, même en ratissant large ?



Dans 5 ans, nos chances seront encore plus minces, les autres se seront multipliés, il y aura eu encore plus de naturalisations sur le pouce, nous n'aurons plus du tout voix au chapitre et l'abstention gagnera hélas encore du terrain, car les médias et la voix officielle continueront à diaboliser le vote national
Les gens n'oseront pas voter dans le sens anti-invasion, persuadés qu'ils seront de leur racisme et inhospitalité. On le leur aura assez asséné !

Alors que pouvons-nous faire ?
Eux, ils jouent le nombre, l'agressivité, l'intimidation (le coup du regard baissé), la réputation de caïd.
je pense que ces "manoeuvres porcines" ne sont vraiment pas grand chose, mais un début de sursaut pour signifier qu'on est chez nous, qu'ils ne sont pas les bienvenus, qu'il ne faut pas qu'ils pensent être en terrain conquis, contrairement à ce que leur laissent supposer le comportement et l'aplaventrisme de nes "élites", de ceux qui ont la parole et nous l'ont confisquée.

C'est ptet simpliste, mais ça prouve qu'on n'est pas morts.
C'est un peu comme ajouter des barquettes de cochon dans le rayon de viande hallal.
C'est ptet infantile, mais c'est comme si on déposait un tract. Ca veut dire "arrêtez de trop y croire, les gars, on est là".

Et puis attendez ! Ils nous ont bien détourné nos abattoirs, non ?
Moi j'ai la rancune tenace.
Les intoxications alimentaires dont on parlait tant l'été dernier (sur fond dEscherichia coli), vous avez vu comme c'est passé vite fait sous silence ?
Alors quelques porcs dans leurs jambes…
Et puis profanation de quoi ? de centres culturels ?
Depuis quand on peut profaner un centre culturel"

Voici la réponse de Jacques, pondérée, bien dans sa manière raisonnable et déterminée:





Je ne suis pas plus d'accord avec ce genre d'actions maintenant que je ne l'étais en écrivant mon billet. Pour moi, il s'agit davantage d'affirmer calmement et démocratiquement des convictions que de se laisser aller à des semblants d'action qui à mes yeux paraissent puériles et surtout inspirées par un état d'esprit de perdant :"Il n'y a rien à faire alors montrons notre opposition par des protestations symboliques". Je reste persuadé que la partie n'est pas perdue, qu'il est encore temps de réagir, qu'une majorité de nos concitoyens ne croit pas aux messages de la propagande "bien pensante". Il se peut que j'aie tort mais dans ce cas, ce ne sont pas par ce genre d'actes symboliques qu'on y changera quoi que ce soit."
Vous voyez que le débat est ouvert, et ça, c'est nouveau.
On peut de toute façon s'en réjouir.
Il est tout de même très ancien, car la réflexion sur les méthodes utilisables ou non en temps de guerre -et nous sommes en guerre- revient toujours sur le tapis. 
La fin justifie-t-elle les moyens, etc…
Là, ce ne sont que des têtes de cochon…Et ça fait tout un pataquès.
Les incendies ou tentatives d'incendies de nos églises, les pillages, les profanations par caca sur l'autel ou derrière l'autel, les statues et tableaux molestés, tout ça, on n'en parle pas. 
Ca serait raciste et stigmatisant d'en parler.
Ah bon ? On est donc certain de l'origine de ces exactions ? 
Je ne pensais à personne en particulier, moi…

Je ne pourrai jamais trop conseiller à toutes les jeunes filles de porter des parfums en provenance directe des porcheries bretonnes. Ou corses, si elles préfèrent.
Les créateurs de prêt-à-porter devraient se pencher sur la question. 
Après une émission de télé-réalité, on a vu une année fleurir, si j'ose dire, partout des motifs à base de vache normande: sur les tissus, sur les objets ménagers, sur les lunettes de WC, partout…
Ne pourrait-on faire la même chose avec le porc ?

Je me vois bien porter vêtements à motif porcin.
Je vais mettre des autocollants porcins sur ma voiture.
Il y a un créneau commercial à prendre, là.

Si vous voulez vivre tranquille, emporcinez-vous, mes frères et soeurs !
A moins que cela n'entraîne que l'effet contraire… C'est un risque à courir.

Certains ont déjà compris l'enjeu. 
Vous qui aimez la tranquillité, faites comme eux :


et mettez des petits cochons sur vos rebords de fenêtre.
Je me souviens avoir vu un restaurant stigmatisant en diable qui avait choisi pour enseigne "A la bonne cochonnaille". Rien de bien original, ils étaient légion en France.

Il en reste combien à avoir osé garder ce nom ?
Je ne peux pas leur donner entièrement tort. 
Car il est à craindre que dans un futur proche, toute allusion porcine, telle que celles que je viens de prôner, devienne une marque de reconnaissance infâmante, comme  la fameuse étoile jaune de sinistre mémoire…

Mise à jour, Mardi 7 Août:

Dans son article sur Manuel Valls, Ministre de l'intérieur du Frankistan, Riposte laïque fait allusion à l'anecdote courageuse qui fait le sujet de ce billet:

Mais Valls allait faire encore pire, dans la trahison laïque. Il a suffi que ceux que notre ami Jack Lucent appelle les « journaleux » montent en épingle un épisode mineur, devant la mosquée de Montauban, pour que notre ministre de l’Intérieur se distingue de nouveau. Quitte à heurter les nouveaux bigots de gôche, nous considérons que mettre deux têtes de cochon devant une mosquée n’est pas une agression sordide, mais un acte de résistance courageux, dont on peut contester par ailleurs le bon goût, contre les provocations incessantes d’une religion de plus en plus agressive et arrogante, sur notre territoire. Nous comparons cet acte à ceux qui osaient crier « croa », au passage des curés, à l’époque du catholicisme triomphant, ou à celui du chevalier La Barre, refusant de se découvrir devant une procession. Il n’y a, à notre connaissance, ni détérioration d’un monument religieux (contrairement à l’Eglise de Villefranche-sur-Saône, dont l’incendie n’a ému ni Manuel Valls, ni les journaleux), ni agression contre des personnes, contrairement aux assassinats musulmans, dans le monde et en France. Pourtant, le lèche-babouche ministre de l’Intérieur a osé à nouveau parler d’un « crime contre la République »,  et s’est donc à nouveau précipité auprès des musulmans de Montauban, n’hésitant pas à stigmatiser les mauvais Français, accusés de racisme vis-à-vis des paisibles musulmans.
Car, n’en déplaise à Manuel Valls et à tous ceux qui ne veulent pas voir la réalité de la situation, que cela soit à Nanterre, Mulhouse, Paris, Amiens, Gennevilliers, Villefranche-sur-Saône, et sur nombre de territoires de la République, c’est à un véritable jihad contre la France à laquelle se livrent, en parfaite complémentarité, les islamistes et les racailles. Leur message est clair : nous n’acceptons pas les lois laïques de l’Etat français, ni l’autorité de sa police, et nous sommes prêts à tout pour nous y soustraire, parce que nous considérons que ce pays doit devenir terre d’islam, et qu’il le deviendra grâce à l’immigration et à la démographie.
Face à cela, depuis sa nomination, toutes les actions de Manuel Valls, que cela soit sur la sécurité, l’immigration, et les rapports République-islam, vont dans le même sens : l’hostilité à la France et aux Français, et la sympathie pour les racailles et les islamistes, qu’il ne peut pas encourager plus ouvertement à accentuer leur offensive contre notre pays.