mardi 27 novembre 2012

Quand je s'rai morte, je veux être journaliste…


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Admirons l'exercice de style d'un affreux (ou d'une affreuse, c'est pas exclu) qui a commis ce qui suit. Ce journaliste est promis à un grand avenir, surtout s'il ne prend jamais le métro ni le train.

Je me contente de citer :
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Le parcours chaotique de « la pousseuse du RER D »
Yerres, le 22 novembre. Après son coup de folie, l’adolescente n’arrive toujours pas à expliquer son geste.  
(-NDLR : ça, c'est la légende de la photo qui ne montre rien et surtout pas la tête de la victime pousseuse, dont on a bien sûr changé le nom. Merde, c'est devenu une Marine :lol: . Vous avez noté le "coup de folie"- )
Pièce après pièce, le puzzle prend forme. Celui du parcours chaotique et sinueux de Marine*, 15 ans, devenue depuis quatre jours « la pousseuse du RER D. » Au fil de ses auditions, l’adolescente qui a projeté sous les rails d’un train une jeune fille de 17 ans, jeudi dernier à Yerres, se dévoile.
« On sait que cette jeune personne a une vie très triste. Ses parents biologiques l’ont placée en foyer très tôt, car ils ne pouvaient pas subvenir à ses besoins, révèle Gilles Charbonnier, procureur d’Evry. Son parcours n’a pas été facile. Il s’agit d’une enfant cabossée par la vie. »  
L’adolescente est écrouée depuis samedi à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. Celle qui, jusque-là, était scolarisée dans « un lycée de l’Essonne », selon le parquet d’Evry, va de nouveau être entendue par la justice dans les jours qui viennent. « Il va falloir qu’elle précise les raisons de son geste. Pour l’instant, elle est encore très marquée par les conséquences de son acte. Elle ne peut que s’expliquer difficilement sur les faits, confie Gilles Charbonnier. D’un autre côté, nous allons mettre en place un suivi d’une autre nature pour elle. C’est une mineure de moins de 16 ans. On n’est pas dans la répression absolue mais plutôt sur un projet éducatif qu’il va falloir élaborer. » 
La victime amputée de ses deux jambesDans l’immédiat, Marine va être soumise à des enquêtes de personnalité et à un quadrillage de sa psychologie. « Cela donnera des axes de travail qui pourront favoriser sa réinsertion future, indique encore le procureur d’Evry. Le témoignage de la victime, si toutefois elle se trouve à un moment en état de le donner, sera également d’une aide capitale. » 
La victime, Jessica, reste dans un « état stabilisé » depuis l’amputation de ses deux jambes. « Les médecins avaient signalé que, si elle passait le week-end, ses chances de survie étaient accrues », rapporte encore le parquet d’Evry. 
Ancienne élève de l’établissement régional d’enseignement adapté (EREA) de Montgeron, Jessica y avait suivi deux années de CAP d’assistante technique en milieu familial et collectif (ATMFC). Elle avait quitté la structure en juin, y laissant le souvenir d’une « petite blonde vive et énergique, un peu grande gueule ».
* Le prénom a été modifié.
 Le Parisien
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Voilà l'engin. Je n'ai pas fait de commentaires, la Mouette, que je connais assez bien,  s'en est chargée.
C'est pas gai, je vous l'accorde, mais le boss a dit qu'on n'est pas là que pour rigoler.

21 commentaires:

  1. On va vous la confier cette Marine en question et vous n'aurez qu'à l'étrangler.
    Et si vous le faites bien, on vous chargera de tous les coupables des faits divers sanglants.
    Ainsi la civilisation que vous voulez sauver sera en marche.

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    1. L'étrangler ?
      Non, je ne pourrai pas. Souvenez-vous que je suis dans le camp du mal.
      Seuls les saints du camp du bien savent empaler, étrangler, fouetter, égorger, lapider ou pousser sous des rails.
      Vous pourriez, vous ?
      Ce que je veux, c'est qu'une coupable soit considérée comme telle. Et la victime comme une victime. On aide la victime et on punit la coupable.
      Or dans le camp du bien, il semble que c'est l'inverse qui se passe…

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    2. Et bien moi je pourrais mais je ne l'étranglerais, je lui scierais les cou avec une scie égoïne et je m' arrêterais entre chaque coup pour l'entendre gueuler et comme je suis en garçon aimable, je m’entraînerais sur des gars du camp du bien. Je ne voudrais qu'elle souffre la petite.

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  2. C'est peut-être un bizutage qui a mal tourné. Faut la comprendre cette pauvre Marine, elle voulait jouer. Si on ne peut pas justifier le geste, on peut au moins justifier l'intention.

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    1. Oui, sans doute. Un bizutage du style de celui-ci ?

      http://fr.news.yahoo.com/video/un-tudiant-d-guis-en-142031482.html

      Et toujours sur Yahoo infos !

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  3. Et le viol d'un étudiant à Bruxelles par un/des blédard/s.
    Il s'était travesti pour l'occasion.
    Paraît-il qu'à Bruxelles aussi ils ont remplacé Marché de Noël
    par marché d'hiver. Pourquoi doit-on plier face aux muzz,
    ils commencent à nous embêter. Avec le vieux tariq ramada,
    qui veut nous faire croire que lui et ses potes nous veulent du bien.
    La chance de la diversité. Les journaleux belges qui osent dire
    que l'étudiant avait une attitude provocante, qui légitiment
    les actes d'une population criminogène.

    Il n'y a que des Ludo pour laisser entrer de la racaille dans sa maison,
    et lui donner sa famille.

    Ils sont écoeurants ces bisounours.

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    1. Ah oui, voilà.
      Je réponds aux comms dans l'ordre et je n'avais pas vu que vous en parliez.
      Merci Pierre.
      Mais l'acte contre la petite blonde est totalement fortuit, gratuit.
      Nous voilà prêts à évaluer la gratuité des actes criminels.

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    2. Des actes gratuits, qui n'ont pas l'air de choquer certains. Ces faits divers ne sont plus des cas isolés, et on est en droit de qualifier certaines populations de criminogènes. Pour avoir discuté avec certains, ils étaient plus choqués par l'emploi du mot "racaille" que par les faits immondes de ces deux jeunes marocains. De même que toute la came vendue en Hollande, quand vous descendez du Thalys, vous aurez un comité d'accueil riche et coloré. La chance de la diversité.

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  4. La Jessica, elle n'est pas du tout cabossée : juste amputée !

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    1. des deux jambes !
      Elle n'est pas marquée, juste amputée…

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  5. C'est amusant, de l'avoir renommée Marine : qu'est-ce que l'inconscient parle fort, certaines fois…

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    1. Oui, j'ai réagi comme vous à cette espièglerie des journalopes…
      Une "Marine" qui pousse une blonde sous les roues d'un train, ça parle ! Ca crie, même.

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    2. Il faut savoir que ce journal belge a tout fait pour dissimuler l'origine précise des auteurs et des circonstances de l'agression. Pourquoi, car le journal émet l'hypothèse que l'étudiant l'aurait cherché car il se serait travesti. Je pense que les salaf, des mecs dans le genre de Triq ramadan, aient infiltré certaines hautes sphères.

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  6. Heureusement qu'on a l'UMP pour se remonter le moral, dites-moi.

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    1. Oué, et surtout Cantelou imitant les gars de l'UMP ^^

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    2. Carine, je l'écoute tous les matins, et il est excellent. J'ai un faible pour Juppé, qui est imité à la perfection. Même Fifi est excellent.
      Mon coup de coeur va à Tata Christiane, qui aimerait qu'un meurtre ait lieu en Guyane car ça fait longtemps qu'elle n'a pas vu ses cousins. C'est celui d'hier, il m'a bien fait rire. Tata qui en a marre d'aller en Corse.

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    3. Oh bin vous savez, en Guyane, il y en a tous les jours des meurtres. A l'arme de poing, à l'arme blanche, au 4x4 et j'en passe …
      Les piétons écrasés, on ne les compte plus. Les 4x4 foncent sur vous quand vous essayez de traverser.
      C'est un miracle quand les feux tricolores fonctionnent.
      En Guadeloupe, même chose. Dans la zone économique la plus fréquentée, les feux ne fonctionnent pas et personne n'a l'air de s'en plaindre, habitués qu'ils sont au bordel africain. C'est atavique. Moi, j'aime bien quand les feux fonctionnent.

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  7. "Le prénom a été modifié" on sait ce que ça signifie...
    Mais Marine, en effet, ça dénote un gros sens de l'humour.
    Jessica va bien se marrer dans son fauteuil roulant, si elle sort un jour du coma.
    Bises.

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    1. Oué :-(
      C'est "Marine" qui a poussé Marine la blonde.

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  8. Bin alors ?
    Vous dormez, les autres participants ?

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    1. Les autres, je ne sais pas, mais je ne me sens pas tellement d'humeur à bloguer, ces temps-ci.

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